Laurent Gbagbo rentrera bien le 17 juin. Le gouvernement « prend acte » de cette annonce faite lundi par ses partisans, après avoir regretté mardi 1er juin ne pas avoir été consulté. Les discussions entre les émissaires de l’ancien président et le gouvernement se poursuivent pour préparer ce retour et notamment savoir quelle forme il prendra.
Alors que depuis 48h la polémique enfle autour de l’annonce de la date du retour de Laurent Gbagbo le 17 juin, le ministre de la Réconciliation Kouadio Konan Bertin a rendu visite ce lundi au FPI GOR.
À la sortie, KKB a tué la controverse. « Les deux parties sont en négociations pour que ce retour soit un retour apaisé. Maintenant, nous sommes un État de droit. Gbagbo est un homme libre. C’est à lui de décider quand il vient dans son pays. Nous avons appris qu’il vient le 17. Nous prenons acte », a déclaré le ministre de la Réconciliation.
Le ministre de la Réconciliation a tenu à rappeler que compte tenu de son statut particulier d’ancien chef d’État, « son retour doit s’étudier en tenant compte des questions de sécurité, de logements, etc ». « Nous avions estimé qu’avant de fixer une date, il fallait préparer tout ça », a encore déclaré Kouadio Konan Bertin pour expliquer la réaction du gouvernement qui regrettait ne pas avoir été consulté avant.
Alors que depuis 48h la polémique enfle autour de l’annonce de la date du retour de Laurent Gbagbo le 17 juin, le ministre de la Réconciliation Kouadio Konan Bertin a rendu visite ce lundi au FPI GOR.
À la sortie, KKB a tué la controverse. « Les deux parties sont en négociations pour que ce retour soit un retour apaisé. Maintenant, nous sommes un État de droit. Gbagbo est un homme libre. C’est à lui de décider quand il vient dans son pays. Nous avons appris qu’il vient le 17. Nous prenons acte », a déclaré le ministre de la Réconciliation.
Le ministre de la Réconciliation a tenu à rappeler que compte tenu de son statut particulier d’ancien chef d’État, « son retour doit s’étudier en tenant compte des questions de sécurité, de logements, etc ». « Nous avions estimé qu’avant de fixer une date, il fallait préparer tout ça », a encore déclaré Kouadio Konan Bertin pour expliquer la réaction du gouvernement qui regrettait ne pas avoir été consulté avant.
Source: RFI